Territoire du M2 en metavers
Le terme "metavers" fait référence à un concept d'univers virtuel en ligne, similaire à un monde en ligne ou une réalité virtuelle, mais qui va au-delà en permettant une interaction sociale, économique et culturelle entre les utilisateurs.
Que sont les metavers créées par Fred Forest sur Second Life dès 2008 ?
Le terme "metavers" fait référence à un concept d'univers virtuel en ligne, similaire à un monde en ligne ou une réalité virtuelle, mais qui va au-delà en permettant une interaction sociale, économique et culturelle entre les utilisateurs. Il est souvent décrit comme un univers virtuel partagé où les gens peuvent interagir avec des avatars, des objets virtuels, des espaces et des environnements créés numériquement.
Le metavers peut être utilisé pour une variété de finalités, y compris les jeux vidéo mais cet usage n’a jamais été le propos de l’artiste. Ce sont plutôt les applications dans l’art avec son Territoire du M2, de l'éducation, ses espaces de travail virtuels, des réunions en ligne, qui ont retenu son attention. Les technologies de réalité virtuelle, de réalité augmentée et de traitement du langage naturel sont souvent utilisées pour créer des expériences immersives et interactives dans le métavers.
Sa visite du Territoire du M2 de pièce en pièce qui aboutit au final par celui qui a fait tout le parcours à la remise d’un diplôme de citoyen qu’il peut tirer sur une imprimante.
Biographie longue de Fred Forest
Fred Forest a une place à part dans l’art contemporain. Tant par sa personnalité que par ses pratiques de pionnier qui jalonnent son œuvre. Il est principalement connu aujourd’hui pour avoir pratiqué un à un la plupart des médias de communication qui sont apparus depuis une cinquantaine d’années. Il est co-fondateur de trois mouvements artistiques : ceux de l’art sociologique, de l’esthétique de la communication et d’une éthique dans l’art.
Il a représenté la France à la XIIème Biennale de São Paulo - Prix de la communication - en 1973, à la 37ème Biennale de Venise en 1976, à la Documenta 6 de Kassel en 1977 et a été exposé au CENTRE POMPIDOU en 2017 et 2024.